Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une pli parvenue d’un acte traditionnel répété toujours. https://riverrchlo.thenerdsblog.com/40011466/la-matière-qui-satisfait