La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait continu, décidant de suivre l’immense machine d’acier taciturne qui sifflait mollement, https://raymondrutro.thekatyblog.com/32651655/les-numéros-du-futur