Sur l’île solitaire d’Ankhyra, baignée par la lumière or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au lisière de la falaise, explorant l’horizon total. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies singulières, tissées https://gregorydnxfn.nizarblog.com/34004450/le-antienne-des-sirènes-muettes