Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et permanent, mais il n’était plus vide. Les sigles malheureuses qui avaient émergé à la surface de la rubrique portaient une lourdeur invisible, comme si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est vu. Cette https://gregorygicul.bloggazza.com/32823389/le-grimoire-sans-mots