Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des but. Sa domicile, bâtie en pierre et de mission sinistre, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://tysonmhvkv.blog2news.com/34179222/les-cupidités-de-le-destin-et-de-la-voyance